Les nouveaux indicateurs de prospérité : pour quoi faire ? Enseignements de six expériences nationales.
Source- Paris : IDDRI, 2014 - 32 p., bibliogr., ann., tabl.
Résumé- Les nouveaux indicateurs de prospérité (NIP) visant à compléter ou remplacer le PIB font l'objet d'un intérêt croissant, aux niveaux local, national et international. Face aux nombreuses limites du PIB et dans un contexte de crises environnementale et sociale, l'adoption de NIP permet la construction d'un récit novateur et contribue à redonner du souffle au débat démocratique. Les instances officielles de plusieurs pays et régions ont adopté de nouveaux indicateurs de prospérité : en Australie, au Royaume-Uni, au pays de Galles, en Belgique, en Wallonie ou encore en Allemagne, des initiatives de NIP ont vu le jour, portées au plus haut niveau (pouvoir exécutif, législatif ou administrations). La France, pionnière dans la réflexion sur de nouveaux indicateurs, peine aujourd'hui à officialiser et à rendre effective leur utilisation.
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