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Sujet : MANUTENTION

 





NumTitreAuteurAnnée
Bernard Gouvart : "faire redémarrer le port". Le 10 juillet 1992 à Dunkerque, la toute nouvelle structure syndicale présente sur les quais, la CSOPM, signe un accord avec les employeurs. Son secrétaire général témoigne.GOUVART (B)2002
Accord portuaire des quinze sur les services portuaires.2002
Manutention portuaire. Pas de droit commun des avancées. 10 ans de réforme.2002
La mise en place de la loi : un accouchement difficile.2002
La difficile fixation du coût de la réforme.2002
Daniel Lefebvre : "nous avons fait des propositions". A la tête de la FNPD-CGT depuis 16 ans. Daniel Lefebvre a vécu toute la période de la réforme. Selon lui, ses propositions n'ont jamais été prises en compte.LEFEBVRE (D)2002
Une réforme bancale, peu appréciée et oubliée. Mesure "scélérate" pour les uns, "incomplète" pour les autres : dix ans après la mise en application, la réforme de la manutention portuaire ne satisfait ni les dockers, ni les manutentionnaires. L'Etat, lui, joue aux abonnés absents.2002
Bernard Brasseur : "c'était trop ou pas assez". Patron de la Compagnie nouvelle de manutention. Bernard Brasseur était déjà sur les quais havrais en 1947. Si, pour lui, la réforme de 1992 était une nécessité, il regrette l'intermittence.BRASSEUR (B)2002
Socialement ratée, économiquement inadaptée. Pour Daniel Lefebvre, secrétaire général de la fédération nationale, CGT des Ports et Docks, la réforme, en imposant la mensualisation aux entreprises est un échec.LEFEBVRE (D)2002
Hubert Péri : "nous devions sauver les ports". Hubert Péri, président de l'UNIM en 1992, représentait les employeurs pendant les négociations. Agé de 73 ans et toujours très actif, il se souvient de difficiles moments.PERI (H)2002