Expérimentation de l'auto-partage à Paris.

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Résumé

La convention indique que "la mise en oeuvre de systèmes d'auto-partage permet des modifications profondes des comportement d'usage de l'automobile et plus généralement de la mobilité urbaine. Dans les pays où ces systèmes ont été introduits (Allemagne, Suisse notamment), on constate pour les usagers des systèmes d'auto-partage, un augmentation de près de 40 % de l'utilisation des transports collectifs, une hausse de 35 % de la distance parcourue en voiture (par rapport à la moyenne). L'auto-partage permet par conséquent un gain d'espace urbain (une voiture pour 10 à 15 adhérents), une réduction (à long terme) de la congestion automobile et une réduction de la pollution atmosphérique". Cela tient notamment au fait que l'automobiliste propriétaire de son véhicule ne perçoit, une fois financé l'achat du véhicule, que les coûts variables (carburant essentiellement). En revanche, l'adhérent d'une organisation d'auto-partage, en payant le véhicule à l'usage, rationalise son usage en le comparant avec les autres modes de transport.

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