Arbitrage entre marche à pied et stationnement : Quelle distance de marche les usagers des parkings sont-ils prêts à accepter ? Tome 1 : rapport. Tome 2 : annexes et résultats des enquêtes.

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Résumé

Un déplacement, quel que soit le mode de véhicule, s'accompagne d'un trajet à pied. Il peut être très court dans le cas de déplacements de porte à porte, ou plus long dans le cadre de trajets avec rupture de charge. En général, cette marche est mal vécue. C'est par ailleurs sans doute l'une des raisons qui explique le succès de la voiture particulière. Dans ce cadre, le stationnement en parking, qui implique un trajet terminal à pied rallongé, est fortement handicapé puisqu'il nie l'un des avantages principal de l'automobile. Une étude sur effet de porte menée en 1999 a cependant montré que les usagers de certains parkings ne cherchaient pas toujours à minimiser leur distance de marche. Ce temps qu'on pensait être le mal aimé des déplacements serait-il devenu agréable ? Quels sont les facteurs qui rendent supportable une distance à pied majorée ? Quels conseils donner aux décideurs pour faire accepter aux usagers une marche plus longue ? C'est l'objet de ce rapport qui cherchera à formaliser de façon plus détaillée que par le passé les comportements des usagers des parcs de stationnement au regard de leur trajet terminal.

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